comptes rendus

 

Une victoire difficile pour IZNOGOUD !

 

 

 

 

Pour cette dernière journée du trophée ANCRE ERDRE, la météo, comme toujours en cette fin d’année, n’est pas séduisante pour attirer un grand nombre de participants ! Windfinder nous annonce 15 nœuds avec rafales à 20 nœuds. Nous nous retrouvons donc seulement à 11 bateaux, 4 J 22 et 7 Micro dont 2 MicroSail, 2 Neptune, 1 Flyer, 1 Edel 2 et 1 Corsaire.

 

Vu le faible nombre de bateaux, le comité décide de faire partir tous les bateaux en même temps. Cela pose quelques problèmes avec les deux équipages néophytes des J 22 qui perturbent les classements des Micro surtout au passage des bouées.

Pour les deux premières courses qui se déroulent dans un vent variant de 2 à 8 nœuds, Michel DRAOULEC a mangé du lion, le MicroSail BIGOUDEN BLUES termine en tête des Micro. Derrière lui, pour la première course, deux NEPTUNE sont au coude à coude. Patrick NICOLAS sur IZNOGOUD et Mathieu DECHAMPS sur COLIBRI terminent dans cet ordre.

Pour la deuxième course, c’est un Micro classique qui va se porter aux avant-postes. L’Edel 2 RUZ BOUTOU de François HEAULME va démontrer qu’avec le nouveau classement en temps compensé, les anciens bateaux ont toutes leur chance de jouer la gagne en terminant second de cette course dans la série Micro.
Pour la troisième course du matin, le vent monte un petit peu, 5 à 10 nœuds. En tête des Micro, TORTUE de François CHRETIEN sur son Flyer et IZNOGOUD sont à la bagarre. Elle tourne à l’avantage de ce dernier.

 

Après une pause repas, nous repartons à 14 h 00 pour deux courses, la première courue dans des conditions de vent plus soutenues, 5 à 12 nœuds de vent. Cette course est remportée par IZNOGOUD.
Pour la dernière course, deux Micro classique sont dans le peloton de tête, Nicolas ROUDEVICH sur le Corsaire LE GITAN et l’Edel RUZ BOUTOU. Très longtemps, le Corsaire sera avec les premiers J 22 et Micro ! Mais en fin de compte, c’est l’Edel 2 RUZ BOUTOU qui s’impose dans cette course. Quand à IZNOGOUD a pris un départ prématuré et a du revenir prendre le départ, ce qui lui coûte la victoire au générale devant les J 22.

 

Le comité arrête tôt la régate, et bien lui en prend car en rentrant au club les 20 nœuds de vent annoncés sont là pour rentrer au port.

 

Au classement général, les classiques font parler d’eux ! Le Corsaire LE GITAN termine sur le podium et l’Edel RUZ BOUTOU se classe quatrième.

En conclusion, un comité qui a bien réagi en fonction de la météo et a fait de cette régate une réussite. L’accueil à l’ANCRE est toujours aussi sympathique. Le club donne rendez-vous à tous les Micro pour la Micro ERDRE les 27 et 28 avril.

 

1^er IZNOGOUD

2^ème BIGOUDEN BLUES

3^ème LE GITAN

 

Classement trophée ANCRE ERDRE 2023

 

1^er             IZNOGOUD                        Neptune

2^ème       BEHAPPY                            Bélouga

3^ème         BIGOUDEN BLUES          MicroSail

4^ème       TORTUE                             Flyer

5^ème       NOTHIN CLOWN              Corsaire

6^ème       PECO                                   MicroSail

7^ème       RUZ BOUTOU                   Edel 2

8^ème       RIKIKI                                  MicroSail

 

Classement fait sur 6 régates ou IZNOGOUD a remporté 5 victoires et fait second à l'autre.
Le trophée a vu 26 bateaux classés.

 

 

 

 

IZNOGOUD sur la plus haute marche du podium

 

 

 

Pour ce 29 octobre les prévisions météorologiques ne sont pas réjouissantes ! Durant la semaine précédente, chaque jour, sa prévision très aléatoire, de 40 nœuds à 20 nœuds le lendemain. Les inscriptions sont donc pas nombreuses :  11 bateaux dont 5 Micros la veille au soir.

Le jour J, au SNO Nantes, nous ne sommes plus que 6 bateaux, 3 Micros, BIGOUDEN BLUES, TORTUE et IZNOGOUD. Les trois autres sont des J 22. Un vent fort est annoncé avec des claques à 37 nœuds, le comité prend toutes les précautions pour mouiller un parcours sans risque. Malgré la force du vent, à bord nous ne serons que deux avec Philippe !

Pour la première course, le vent souffle à 10 nœuds avec des rafales à 15-18 nœuds. TORTUE termine en tête, mais ne peut sauver son rating face à IZNOGOUD et BIGOUDEN BLUES.
Pour la deuxième course, de gros nuages apparaissent, IZNOGOUD décide de prendre un ris dans la grande voile. Dommage, le vent ne va pas forcir ! Mais gros avantage quand même, le bateau ne se couche pas dans les incessantes rafales, le bateau dérape moins. En privilégiant les zones à risées plutôt que les adonnantes, IZNOGOUD remporte cette deuxième course.

Le ris dans la GV est fort intéressant quand il faut rentrer au club de l’ANCRE à 2 nautiques de la zone de course. En effet, nous rencontrons un grain à 30 nœuds pendant 2 minutes. Difficile à négocier sur un plan d’eau tel que l’Erdre où la direction du vent change constamment.

En remportant les deux courses, IZNOGOUD termine devant TORTUE et BIGOUDEN BLUES.

 

Merci au SNO qui a su nous organiser deux très belles courses dans des conditions difficiles.

 

 

 

Une belle journée de régate

 

 

Une très belle régate avec un vent versatile surtout le matin pendant la première course. Les nuages annoncés ne sont pas au rendez-vous, tant mieux, c’est un beau soleil d’octobre qui nous accompagne.

 

Pas moins de 25 bateaux pour cette troisième journée du trophée Ancre Erdre.  Un nouveau bateau rejoint la flotte, le NEPTUNE LETS’GO. Le comité nous organise deux départs, les J 22 en premier, et les OSIRIS en deuxième. Catégorie où l’on compte une majorité de micro, des Edel 2, des Corsaire, des Microsail, des Neptune et un proto. Un grand bravo au comité qui a vraiment du se tier les cheveux pour nous donner le départ des trois courses de la journée.

La première course ne voit pas le vent dépasser les 5 nœuds. Le proto MOUSTIQUE se détache largement dès le départ,  suivi du Microsail MICROSILLAGE. Pourtant en tête à l’arrivée, ce dernier ne voit pas la ligne… et ne la passe pas !  Mais pour cette course, tout va se jouer sur le bord de spi. MOUSTIQUE et le flyer TORTUE restent au centre du plan d’eau. IZNOGOUD prend sur la droite au milieu des mouillages et c’est le regroupement à l’arrivée. Au temps compensé, IZNOGOUD remporte cette course.

Après un repas à terre, les courses de l’après midi se déroulent par un vent plus soutenu et variable en direction comme en force.
Pour la deuxième course en tête, au trio MOUSTIQUE, IZNOGOUD et TORTUE vient se joindre le bélouga BEHAPPY. Les bagarres sont âpres surtout en passant dans le fameux goulet entre l’ANCRE et le SNO. C’est BEE HAPPY qui s’impose sur cette deuxième course devant IZNOGOUD et TORTUE.
Pour la dernière course, nous retrouvons les quatre mêmes protagonistes mais cette fois ci avec TORTUE aux commandes, suivi de IZNOGOUD et BEHAPPY.

 

Un grand merci à toute l’équipe du club de l’ANCRE pour cette belle manifestation.
Rendez-vous est pris pour la dernière manche du trophée le 12 novembre.

 

 

8 NEPTUNE

au national de Lyon

 

 

Aujourd’hui, c’est moi IZNOGOUD qui prend la plume !

Vous connaissez bien mon barreur, Patrick, rien ne l’arrête ! Sa blessure à la jambe faite il y a 15 jours à l’ANCRE n’est pas totalement remise. Il doit refaire le pansement tous les deux jours. Il a toujours mal à ce sacré tibia. Mais le jeudi matin, il vient quand même me chercher au club pour prendre la direction de Lyon. 720 km durant lesquels, les vibrations feront souffrir Patrick.

Bref, nous arrivons à Lyon au moment où les supporters du match de coupe du Monde de rugby se rendent au stade. Je vais poireauter dans les bouchons plus d’une heure pour faire les 3 derniers kilomètres avant de retrouver Jean Paul, ancien finniste qui nous hébergera, lui dans un lit, moi dans la cour.

Le lendemain, il retrouve Mathieu l’équipier avec qui il forme l’équipage du weekend. Et moi, je retrouve de nouveaux copains.  8 NEPTUNE attendent sagement que la vent se lève. Premier départ vers 15 h  pour 5 courses à suivre. Je suis tout content.  Pour nous, la réussite n’est pas au rendez-vous. Au soir de cette première journée, nous sommes  4^ème  à 4 points du premier. La preuve que la bataille pour la tête est ardue.

On se repose au mouillage pendant que nos équipages se retrouvent pour un excellent repas maison avec au menu les spécialités de la région.

Le lendemain, le vent est aux abonnés absents. A 14 h 00 le comité annonce la fin du championnat sans que moi et mes 7 copains aient pu prendre le départ d’une course.

Après une remise des prix chaleureuse, accompagnée de gaufres maison, je ramène mon Patrick à la maison. nous reprenons la route en direction de Saint Nazaire.

 

 

 

 

Tout pour une belle régate !

 

 

Cette régate en solitaire regroupe 17 bateaux dont 12 Micro. 5 Microsail, 3 Edel 2, un Corsaire et mon Neptune. Le vent faible du départ va forcir régulièrement jusqu’à 10 nœuds. Le soleil est de la partie. Le comité donne deux départ le matin avant d’aller se restaurer.
Iznogoud va faire merveille, Il va remporter les deux premières courses dans un vent de 4 à 6 nœuds.

Une pose très conviviale avec un Kir en apéritif nous est servie.

Le comité nous envoi sur l’eau à 14h00 pour deux courses. La première de l’après midi ne va pas être de tout repos. Déjà, cela devient sportif, le vent est monté à 10 nœuds et en solo, cela complique nos affaires. Mais de plus lorsque je j’envoi le spi au deuxième bord de vent arrière un bateau à moteur me passe au ras du bateau. Les vagues me font tomer sur la barre d’écoute ou je me fais une vilaine plaie. Le spi s’enroule dans les barres de flèche. C’est la cata ! Bref j’avais assez d’avance pour remporter cette course.
Pour le dernier départ, la douleur ne me fait pas envoyer le spi, je la termine es version cool à la troisième place.

A terre, le président du comité me met des stéri-strips au vu de la blessure.

Mis à part ce petit détail, cette régate est une réussite, l’ambiance y est très bonne et l’organisation toujours au top, comme sait le faire le club de l’ANCRE.

Au classement de la Capel Solo, Iznogoud termine cinquième car je n’ai pas couru la première journée.

Un grand merci à tous les bénévoles du club.

 

 

Une régate comme j’aimerais en courir plus souvent !

 

Cette compétition, n’est pas une régate aseptisée comme bon nombre d’organisation pour lesquelles ne compte que les Laser ! On y retrouve une diversité de bateaux, allant du TWIGAL, dériveur gonflable au Finn en passant par les catamarans. Cette hétérogénéité donne un climat très convivial. Cela me rappel des régates des année 1960-70. Un agréable retour dans le temps.
Le club n’est pas en manque dans cette convivialité, l’accueil y est super, et pour couronner le tout, des bénévoles nous proposent des grillades avant de partir sur l’eau vers 13h30.

Sur le plan d’eau, le temps nous est favorable, soleil et vent de 8 à 15 nœuds dans les rafales. Le comité nous organise trois courses d’environ ½ heure. Les parcours sont très bien positionnés sur ce super plan d'eau. La bonne organisation du comité renforce cette impression de journée réussie.

 

Je remercie le club de m’avoir accueilli, et tout particulièrement les bénévoles.

 

Une découverte !

 

 

Avec Sylvie, nous décidons de faire le tour de l’Ile aux Moines dans le Golfe du Morbihan pour le 15 août. C’est l’occasion de découvrir les merveilles de cette petite mer !

Déjà, un problème se pose… Comment mettre le bateau à l’eau et régler les problèmes de couchage alors que le bateau va se trouver au mouillage sur l’ile et que le camion va se trouver sur la terre à Port Blanc ?
Finalement nous comprenons qu’il n’y a pas de structure d’accueil car les 130 équipages qui sont inscrits sont tous du golfe et sont donc complétement autonomes en ce qui concerne les habitudes de la région. Pour nous, il faudra donc jouer avec les navettes entre Port Blanc et l’Ile aux Moines, faire les manœuvres entre les deux ports et les amarrages dans les courants à la voile ce qui inquiète beaucoup Sylvie. Mais tout se passe tranquillement.

Nous apprenons aussi que le pot d’accueil n’est pas sur l’Ile aux Moines mais à la SR Vannes à Vannes. Alors en route ! Ce sera le moment de mieux comprendre l’histoire du club local, dissous après le décès du président par manque de bénévole pour reprendre la fonction, et la bonne volonté du SRV, club qui fête ses 180 ans cette année, pour reprendre les actions historiques du club de l’Ile Aux Moines et ce fameux tout de l’île. Malgré la pluie, nous profitons d’un très bon cocktail suivi par des saucisses et mergez. Ensuite nous retournons sur Port Blanc pour un couchage sauvage avec notre Multivan, mais conseillé par une organisatrice.

 

 

Le 15 août nous nous faisons débarquer sur le ponton visiteur de l’Ile aux Moines par le zodiac de servitude du port. Horreur, les clefs du bateau sont dans le camion de l’autre côté de la passe ! Bon, mon couteau de plongée fait l’affaire, la serrure est forcée sans difficulté.

Direction la zone de départ. Déjà les courants nous semblent forts… Nous n’avons jamais régaté dans le golfe, c’est une première pour nous. Les habitués nous font remarquer que cela n’est vraiment pas si simple que cela !
Deuxième souci… La carte électronique du golfe sur la tablette ne fonctionne plus (vive l’électronique) et surtout, nous n’avons pas d’autre carte ! Nous prenons néanmoins le départ parmi 130 bateaux ! Tout ce qui flotte est au rendez-vous : planche à voile, dériveurs, catamarans de sport, bateaux habitables divers, trimarans gigantesques, avec une majorité de Guépard, petits voiliers traditionnels dont c’est la rencontre annuelle internationale. Le premier départ est pour nous, le groupe OSIRIS, comme prévu. Départ sous spi, direction la pointe de Penhap au sud de l’ile. Arrivé à celle-ci, un regroupement se fait car, passer la pointe, nous nous retrouvons avec un courant contraire. Il faut aller chercher les contre-courants et jouer finement sous spi ce que fait Sylvie à merveille.
En arrivant à la bouée Roche Colas nous sommes très bien placés, nous avons fait une très bonne tactique. Mais sans carte, nous allons talonner, heureusement sans gravité, vu le vent faible de ce premier tour.
Après le passage du goulet entre Port Blanc et l’Ile aux moines, nous finissons notre premier tour toujours à une bonne place. Le vent s’est levé entre 8 et 10 nœuds. Nous attaquons notre deuxième tour. Mais les écarts se sont creusés de toute part et nous naviguons maintenant seul, pas de bateau autour pour nous comparer et régler au mieux…Dommage.         

La passage de la pointe du Trec’h va nous être fatal ! Nous mettons plus de 30 minutes pour négocier ce goulet face au courant… Nous le passons de justesse en rasant de quelques mètres la tourelle. C’est la seule grosse erreur que nous allons faire dans tous les courant, mais elle nous est fatale…

Après le passage de la ligne d’arrivée, il nous faut revenir dans de forts courants jusqu’au ponton d’accueil de Port Blanc, ce qui va être délicat car un gros bateau de transport de passagers va nous obliger de repartir en plein courant. Après ces déboires, et avec quelques difficultés, nous pouvons remonter le bateau sur la remorque. Sylvie va négocier avec la gendarmerie la possibilité de laisser camion et bateau sur la cale de mise à l’eau pendant que nous prendrons la navette pour nous rendre à la remise des prix sur l’Ile aux Moines.

A notre grande surprise, malgré notre grosse erreur dans les courants de la pointe du Trec’h, nous terminons à la troisième place !

 

 

Cette journée fut une belle expérience, pleines de surprises et d’aventures. Cette régate est bien différente d’une régate classique. Nous avons apprécié la gentillesse des îliens, et des navettes du port même si nous n’en faisons pas partie ! Petit temps , soleil, parfait pour cette sympathique découverte. 

Une finale départementale de dériveurs passionnante en Loire-Atlantique avec 57 bateaux en compétition

 

Le 18 juin dernier, la finale départementale des dériveurs en Loire-Atlantique a réuni 57 bateaux répartis en trois catégories : les Open Bic, les optimists et les inter-série.
Cette compétition a été marquée par une bataille acharnée sur l’eau.

 

La journée, ne commence pas très bien. Orages, pluie et manque de vent sont au programme… Vers midi, une très faible brise se lève et la pluie cesse. Le comité nous envoie sur l’eau. Au fil de la journée la météo s’améliore. Le soleil et un vent plus fort font leur apparition. 

 

Dans la catégorie Optimist, le SNO Nantes a dominé. Cependant, deux barreurs du SNOS Voile ont réussi à se démarquer : Quentin MASSON et Achille DUPONT, sur les 28 concurrents, Quentin MASSON s'est illustré en réalisant deux superbes performances avec des places de 4e et 5e, lui permettant de terminer à la septième position. Quant à Achille DUPONT, il a également réalisé une belle performance en se classant huitième.

Cependant, c'est dans la régate inter-série que la compétition a atteint son apogée. Les 21 bateaux engagés se sont livrés une bataille acharnée, avec seulement deux points d'écart entre les quatre premiers. Julien MASSON en Laser 4.7, a terminé à égalité de points avec Yves BROHANT sur son Europe. Cependant, grâce à ses deux premières places, Yves BROHANT a réussi à prendre l'avantage sur Julien et à s'adjuger la troisième place. Jean-Charles FOSSET en Laser standard, en remportant la troisième course, peu ainsi s’adjuger la victoire devant mon Finn.

 

Un grand merci à tous les bénévoles qui ont merveilleusement organisé cette compétition. Et surtout à Ingrid la cheffe de base du club.

 

Orages

vent chaotique

mais

accueil chaleureux

 

 

 

Ô rage ! Ô désespoir ! Ô risées ennemies !
N’ai-je donc tant navigué que pour ces brises évanescentes ?
Et me suis-je trompé dans les options
Que pour voir en un jour flétrir tant de résultats ?

 

Voilà, cela reflète bien mon ressenti pour cette régate !

Heureusement la joie de rencontrer tous les copains fait que nous sommes heureux avec Tanguy er Eric de participer à cette compétition.
Vingt-trois bateaux sont présents pour cette édition de la Porcelainorum. Mais les conditions météorologiques ne sont pas favorables ! La convivialité et la bonne humeur des concurrents font malgré tout de cette manifestation une réussite. L’excellente entente entre les équipages n’y est pas étrangère et l’accueil chaleureux du club y contribue aussi énormément. 

Pour la première course nous nous portons très vite en tête. Le vent est très faible, et même parfois nul. Il tournera de 90° en fin de course. Nous terminons troisième de cette course en temps compensé.  

Pour la deuxième course de cette journée, un refus de tribord de 3 autres bateaux va nous reléguer en fond de classement. Pas de chance…Il est bien difficile dans les conditions de vent pour nous de remonter jusqu’à la dixième place.

Le soir, comme fidèle à la tradition, le repas est excellent. La viande issue de vache limousine locale est un régal. Aline la femme de mon équipier attend avec impatience la fin du repas pour la « verveine », alcool personnel d’un concurrent. Une dégustation des spécialités très locales !

Le dimanche, le comité ne peut nous faire partir que pour une seule course. En essayant de nous donner un deuxième départ, il est obligé de nous faire rentrer à terre à cause d’un orage qui menace très fort. Pour cette dernière course, le départ est catastrophique, un concurrent nous abat dessus au départ et nous restons scotché sur la ligne, nous partons en dernière position ! Nous effectuons une belle remontée, mais pas suffisante. Nous franchissons la ligne d’arrivée huitième.

 

Comme toujours, il est bien agréable de venir dans cette belle région limousine, au milieu de la forêt, sur ce magnifique plan d’eau situé à 700 m d’altitude.
Un grand merci aux bénévoles et à Jean Louis MATTEI pour le formidable accueil qu’ils nous ont réservé.

 

 

Les jeunes me donnent du fil à retordre !

 

 

 

Une belle journée pour cette régate de club au SNOS Voile. Beau soleil et vent de 5 à 8 nœuds en début d’après-midi. Dommage qu’il ne soit pas stable en direction… Des bascules de 90° par moment nous surprennent fortement.
Pour les deux premières courses, je fais cavalier seul en tête de course.
pour les deux courses suivantes, le vent tombe. Nous serons même encalminés pour la dernière course à la bouée au vent Yves BROHAN avec son poids plume fait de très bonnes performances pour ces deux dernières manches.

Nous n’avons pas les classements au moment où je vous fais cet article. Mais la place de premier doit se jouer entre nous deux. Nous risquons d’être ex-aequo, mais Yves N’a pas fait une bonne place…

Attendons le classement.

 

Merci à Ingrid et Yves pour le comité.

 

 

Une leçon de ténacité.

 

 

Quel bonheur nous a apporté IZNOGOUD durant ce championnat !

 

C’est une compétition sportive courue dans de rudes conditions. Nous sommes accueillis dès la première course par 20 à 30 nœuds de vent et de belles vagues. Des conditions que nous ne rencontrons jamais en navigant sur les plans d’eau intérieurs.
Le vent parait très fort. Nombre de nos concurrents prennent des ris. Nous faisons de même. Une fois la manœuvre effectuée, je borde et CRAC !  L’œillet de ris s’arrache… Nous renvoyons toute la grand-voile et étarquons au maximum le nerf de chute en priant que la voile ne continue pas à se déchirer ! Pour ce qui est de la voile, elle tiendra le coup. Mais c’est sans compter sur la participation des J 80 (bateaux de club dont les équipages ne se préoccupent pas d’éviter les abordages). Un J 80 nous refuse un tribord à la bouée au vent, le mât se prend dans son gréement et il nous casse la girouette. Dans ces conditions, un bon nombre de concurrents en profitent pour nous dépasser alors que nous essayons d’éviter de dessaler...C’est reparti ! Il nous faut nous reprendre en main. Nous terminons la course troisième derrière un autre NEPTUNE, LE CYRIC, qui remporte cette course. Mais très peu de micros terminent cette course ; nous ne sommes que 5 sur les 20 micros engagés à passer la ligne d’arrivée !
Le comité, débordé par les abandons et la casse ne va pas envoyer une autre course ce premier jour.
Mais nos soucis ne s’arrêtent pas à la fin de la course : Nous prenons d’abord notre temps pour réparer avec de l’insignia la déchirure de la grand-voile.  Puis stupeur en regardant les résultats! Nous ne figurons pas sur la liste des bateaux arrivés ! Après discussion et demande de reclassement, nous réintégrons notre place de troisième. Après coup, nous apprenons que nous étions 5 dans ce cas. Pas très sérieux pour un championnat de France !

Pour le deuxième jour, le comité ne veut pas prendre de risques. Il nous fait partir 1 heure plus tôt pour que l’on puisse naviguer et surtout faire le parcours côtier avant que la brise thermique ne se lève.
Pour cette première course, dans un vent de 8 à 12 nœuds, nous allons, comme beaucoup, nous faire piéger par le courant ! Nous arrivons bien trop haut sur la première marque de parcours. Que de places perdues… Le bateau marche bien, nous ne baissons pas les bras, nous nous engageons dans une course poursuite effrénée. Nous terminons ainsi en quatrième position derrière TORTUE.
La troisième course, je préférerais l’oublier… Le vent monte doucement, tout se passe très bien jusqu’à l’arrivée. Le bateau d’arrivée est toujours en place avec la bouée sous le vent. Nous franchissons cette pseudo ligne et allons-nous mettre à l’abri près de la plage. Nous avons normalement fini second. Mais on s’aperçoit que la ligne était pour une fois entre un petit zodiac et une autre bouée. Demi-tour, pour aller repasser cette ligne… Nous finissons 6…
La poisse ne nous quitte pas pour la quatrième course ! Nous sommes deux bateaux à arriver en premier à la bouée au vent. Devinez… Un J 80 bâbord amure et nous tribord… De nouveau, refus de tribord, nous perdons 5 places qu’il va falloir essayer de remonter. Nous terminerons juste derrière LE CYRIC que nous ne pouvons pas rattraper.
Pour la dernière course de la journée, elle va être parfaite. En tête à la première bouée, nous y restons jusqu’à l’arrivée.
Mais encore une fois, à terre, les soucis pointent le bout de leur nez. De nouveau nous ne sommes pas pointés à une course ! Et nous sommes disqualifiés pour départ prématuré à la dernière course. Incompréhensible. Car pour le départ de cette course, je n’ai pas voulu m’engager au bateau comité et de ce fait, nous sommes partis en deuxième rideau. Mais la décision du comité est souveraine…

Après de nouvelles démarches pour se faire réintégrer à nouveau sur la place oubliée, c’est la soirée « repas des coureurs ». L’organisation est un peu dans le même style que les pointages. Pas de pain avec les entrées… et surtout une bonne vingtaine de coureurs n’ont pas eu de paëlla. Il a fallu que les bénévoles aillent acheter des pizzas pour nourrir tout le monde…

 

Pour le dernier jour, le comité craint que le vent ne monte trop. Il envoie sur zone un bateau pour estimer les conditions de navigations. Finalement, l’ordre nous est donné de nous rendre sur la zone de départ.
Sitôt passé la digue du port, nous rencontrons des conditions difficiles. Nous ne pouvons plus prétendre à une place de second sur le podium à cause de notre disqualification. Mais nous devons assurer notre place de troisième au classement général. Mais voilà ! Tout ne se passe pas comme prévu. Sur la route vers la ligne de départ, d’un coup, la voile descend, la drisse de grand-voile est cassée ! Demi-tour, nous prenons la direction du port. A bord nous sommes dépités… J’annonce « et un championnat de foutu… ». Mais c’est bien mal me connaître ! Pendant que nous rentrons sous foc, je cogite : Comment faire ? Où se mettre dans le port ? Pas trop loin du camion pour aller chercher du matériel etc. Mais que c’est long de rentrer dans le port sous foc seul. Le premier bateau de sécurité croisé n’a pas voulu nous remorquer, il a simplement signalé notre abandon.

A peine au ponton, Guillaume tient le bateau pendant que je commence déjà à démâter de façon à ce que la tête de mât soit au-dessus du ponton. Eric part en courant au camion chercher des bouts et des poulies. On enlève la drisse de l’intérieur du mât. Je la prépare pour gréer une drisse extérieure. Eric arrive avec une poulie que je monte avec un brêlage et nous passons la drisse de GV. On remâte très vite et nous envoyons la grand-voile. Tout se passe bien. Départ du ponton sans foc pour aller plus vite, car pour démâter il avait fallu l’enlever complétement. Guillaume commence à gréer le foc à l’intérieur du port et termine après la sortie, dans des vagues et des claque très fortes. Bel équilibriste ! Mais nous avons fait une petite bêtise. L’écoute de spi a été oubliée pendant que nous remâtions. Il faut l’enlever. Mais dans les conditions de mer que nous rencontrons, nous ne sommes pas sûrs de ne pas avoir de nœud dans le spi. Ça y est, nous arrivons au bateau comité, le pavillon P est déjà envoyé ! Nous nous signalons pour dire que nous ne sommes plus abandon. Sans avoir le temps de départ, nous nous calons sur un autre micro qui a l’habitude de prendre de bons départs, et partons juste après lui. Le parcourt est très près de la côte. Le vent est fort, 20 à 25 nœuds, et très irrégulier en direction. Et pour une fois, pas de J 80 à la bouée au vent ! Nous passons la première bouée en tête ! Un coup d’œil derrière, nos concurrents directs sont loin. Nous n’envoyons pas le spi pour éviter de nous retrouver avec le risque d’avoir un nœud avec les fortes rafales de vent. LE CYRIC nous passera sur la fin du bord de spi. Nous terminons la course second en assurant notre troisième place au général !

 

 

 

 

Comme quoi, il ne faut jamais, jamais baisser les bras. Jusqu’au bout, tout peut arriver. Et croyez-moi, après 56 années de régates et d’aventures diverses,  j’y crois !

 

 

Très belles régate de 24 bateaux pour cette première journée du Classic Tour.

 

Ce weekend du premier mai, IZNOGOUD participe à l’OPEN ANCR’ERDRE à Nantes. Un vent très faible ne dépassant pas les 5 nœuds sauf à la 8^ème et dernière course ou le vent montre à 10 nœuds. Même cette météo, n’entame pas la bonne humeur des 24 bateaux présents. Le club de l’ANCRE y est aussi pour beaucoup, l’organisation est parfaite.

 

Cette fois l’équipage est formé de Eric, Philippe et Patrick. Ils ne retrouveront pas la réussite de la précédente régate. Le plan d’eau se montre sous son plus mauvais jour avec un vent très capricieux en direction. Les bons et mauvais coups se succèdent.  Le bateau ne retrouve pas sa vitesse habituelle au portant. Malgré cela, IZNOGOUD est toujours aux avant-postes et termine 3^ème au classement général en temps compensé et gagne dans la série Micro de régate. 

 

 

 

Très belle navigation dans du vent fort.

 

 

 

 

Samedi 15, une régate de club avait lieu au SNOS Voile Saint Nazaire.

Un vent très soutenu était de la partie, 12 à 20 nœuds dans les rafales. Ce fut un concours de dessalage parmi les bateaux présents. Un RS 500, un FINN et des lasers Standard, radial et 4.7.

Au niveau bords de près, j’était toujours dans les bons coups.  Il faut dire qu’une grue était située au vent dans l’axe du plan d’eau. Elle indiquait parfaitement les tendances de changement de vent à venir. Mais dans ces conditions, j’ai vraiment fait le gros dos et n’ai pris aucuns risques. Pour l’heure, nous n’avons pas les classements, mais Maurice doit sauver sans problème sont rating avec le laser radial.

 

Merci à Au comité pour nous avoir permis de profiter d’une si belles navigation, mais si j’était complétement épuisé le soir.

Bonjour,

Je me présente, pour ceux qui ne me connaissent pas :  Je m’appelle IZNOGOUD, je suis un Neptune de 1984, et mon propriétaire est Patrick NICOLAS du YC La Baule.

Ce vendredi matin, j’attends bien sagement sur ma remorque que Patrick vienne me chercher, il me tarde de retrouver tous mes copains. Ça y est, je suis derrière le camion, et nous roulons sagement vers Lavacourt. Mais vous connaissez Patrick, rien n’est simple avec lui ! Une première panne sur l’autoroute, puis ça repart par miracle, puis une deuxième panne 50 km plus loin… Il ne s’affole pas, réfléchit, analyse, et finit par comprendre ce qui se passe. Ne me demandez pas trop, mais il semble que cela vient d’une vanne qui commande le turbo... Bref, il change le moins possible de vitesse et ne roule qu’au régulateur. Nous arrivons finalement à Lavacourt dans l’après-midi. Mes copains sont déjà là. Je retrouve donc Il FURIOSO, CELOYO, TOUPIDEC, LIBERTE II et SEBOLAVY. Ce qui est génial, c’est que je vais me faire de nouveaux copains avec MORLO, GRANGIBUS et quelques autres.

 

Patrick retrouve sur place Tanguy. A eux deux, ils vont me préparer puis partiront avec Aline déguster de très bonnes crêpes (si, si, cela existe aussi ailleurs qu’en Bretagne !). Ils n’avaient pas compris que le club offrait un apéritif et un repas aux concurrents qui arrivaient le vendredi soir ! Alors au retour de la crêperie, ce sont les retrouvailles au club avec tous les autres concurrents arrivés le vendredi et l’équipe de bénévoles. L’ambiance y est déjà chaude, punch aidant. Le club de l’AS Mantaise montre déjà qu’il sait recevoir !

Le lendemain, c’est le début des hostilités ! La météo annoncée étant très faible pour les jours à venir,  le comité souhaite faire un maximum de courses dès le premier jour. Nous allons donc courir 5 courses le samedi par un vent très irrégulier tant en direction qu’en force. Ce vent de 4 à 8 nœuds met à nerfs les concurrents.
Pour cette journée, je teste ma nouvelle garde-robe de chez North. Elle a l’air de plaire à mon équipage.
Au soir de cette première journée, j’ai la chance de me retrouver en tête du classement provisoire OSIRIS avec 3 places de premier devant le Corsaire MORLO et l’autre Neptune IL FURIOSO qui gagne la quatrième course. La dernière course de la journée est remportée par le proto LIBERTE II.
En temps réel, LIBERTE II s’adjuge les courses N° 1 et N° 5. IL FURIOSSO remporte la N° 4 et je gagne la N°1 et la N° 3.

Au soir de cette première journée, alors que je me repose bien pour être en forme demain, mes marins sont en train de faire la fête au club. Et quelle fête ! Après un Punch excellent, une soirée mémorable, avec orchestre, c’est la fiesta, un peu trop bruyante à mon goût… Nous, les bateaux sagement endormis à notre ponton, nous sommes bousculés dans notre quiétude de la nuit. Mais je pense à tous ces concurrents et bénévoles qui sont en train de s’amuser, qui profitent largement de cette belle soirée et je peux accepter ce petit dérangement. En voyant leurs mines réjouies le lendemain, mais je peux vous assurer qu’ils ont pris un grand plaisir à cette soirée organisée par le club et son sympathique président Mathias.

 

Le deuxième jour, le vent tarde à se lever, le comité s’arrache les cheveux pour se mettre en bonne position afin de nous permettre de partir dans les meilleures conditions. Cette fois-ci, le vent est encore plus faible que la veille. Il y a même eu un regroupement presque complet de la flotte lors d’un passage de la bouée d’empannage grâce à une risée arrivée de je ne sais où. Nous pouvons courir quand même dans ces conditions 3 courses.
Je vais faire un grand plaisir à mon équipage en les amenant 3 fois à la victoire au classement OSIRIS. IL FURIOSO termine deux fois second et le proto TOUPIDEC s’adjuge l’autre place de second.
Au classement en temps réel, je remplis de joie mon équipage car nous gagnons les deux premières courses en temps réel. C’est TOUPIDEC qui remporte la troisième course du jour.

Après les courses, pendant que je suis sagement amarré au ponton, c’est l’auberge espagnole : les concurrents se retrouvent après le traditionnel punch autour de très bons pâtés maison, d’un pithiviers succulent fait par Aline, la femme de Tanguy, et même pour les plus courageux, un rhum caramel qui va circuler de verres en verres. L’ambiance est particulièrement chaleureuse.

Pour cette dernière journée, le vent n’est pas plus stable que d’habitude, mais un peu plus fort. Je vais y rencontrer quelques risées à 10 nœuds. Le comité va nous envoyer pour 5 courses.
A part la première qui sera ma plus mauvaise place de la journée (deuxième), je vais porter mon équipage en tête des 4 autres courses au classement OSIRIS. La première course est remportée par le Flyer CELOYO. Pour ce qui est des places de seconds, on trouve IL FURIOSO deux fois, de nouveau CELOYO et le Flyer SOMNIUM.
Au classement en temps réel, la première course est remportée par CELOYO, la deuxième et quatrième par IZNOGOUD, la troisième par SOMNIUM et la cinquième par TOUPIDEC.

Toute l’équipe de bénévoles du club a été formidable pour organiser un championnat extraordinaire. Encore un grand merci à Mathias pour son implication.
On ne peut pas parler de cette régate sans remercier et complimenter Paule Marie, présidente du comité, qui a su dans des conditions très compliquées nous organiser des courses très propres.

Enfin un dernier merci à la responsable de la Banque Populaire Val de France qui a doté la remise des prix de cette compétition.

Vers 17h00, c’est avec tristesse que j’ai quitté mes copains et que j’ai repris la direction de Nantes derrière le camion de Patrick. Mais je reviendrais l’année prochaine.

 

A bientôt les copains.

 

 

Un essai de voiles neuves très concluant. 

 

 

 

 

C’est par un temps nuageux et un vent de 8 à 15 nœuds que nous disputons cette deuxième journée du Trophée Ancre Erdre à Nantes ce 2 avril 2023.

18 bateaux sont au départ dont 14 Micros. IZNOGOUD étrenne sa nouvelle garde-robe. Son propriétaire en est très satisfait. Même si le NEPTUNE termine second au général.

Très vite, l’équipage prend en main la nouvelle monture qui se révèle rapide. Le niveau des coureurs sur l’Erdre est en train de monter. Pour preuve, les départs sont très chauds. Les bateaux ne laissent pas leur place. Ce qui va entrainer un bon nombre de rappels généraux. Départ sous pavillon noir de rigueur !
Pour la première course, en tête, une bataille acharnée se déroule entre les deux J 24, le Bélouga et IZNOGOUD. Derrière, un trou s’est creusé et c’est COLIBRI, l’autre NEPTUNE, qui mène devant l’armada de Microsail et devant le Corsaire. Cette première course est remportée par IZNOGOUD.
Pour les deux autres courses, le scénario va se reproduire avec les 4 premiers qui se battent  bien en avant de la flotte, à ceci près que c’est le Bélouga BEHAPPY qui s’impose.
Au classement général, BEHAPPY termine premier devant IZNOGOUD et MORNING CLOWN, le corsaire, qui monte sur la troisième marche du podium.
Derrière, aux places d’honneur, arrivent BIGOUDEN BLUES le Microsail et COLIBRI le Neptune.

 

Pour ce qui est du classement Micro, on trouve donc aux trois premières positions IZNOGOUD, MORNING CLOWN et BIGOUDEN BLUES.

 

La dynamique Micro à l’Ancre est très forte. Cela augure d’une très forte participation et d’une très belle régate pour la Micro ERDRE qui va se courir du 29 avril au 1 mai. Des bateaux du bordelais, de Bretagne ou du centre de la France prévoient de venir nous retrouver.

 

C’est toujours un grand bonheur de naviguer à l’Ancre, on est sûr d’y retrouver un bon nombre de participants et une organisation au top. Merci aux bénévoles.

 

Une grande joie de naviguer avec un ancien de l'école de sport du CV Touraine

 

15 ans sans s'être revus, Thierry GALLET vient à bord d'IZNOGOUD pour m'équiper en complément d'Eric RICHIEROS.

 

C'est un temps maussade qui nous attend le matin. Cela ne décourage pas les 18 bateaux présents. Le vent est très faible, tournant de façon aléatoire que nous abordons les courses du matin.

Petite anecdote : Pressés de s'entrainer aux manœuvres, nous oublions de descendre la dérive ! incompréhension au moment du départ... Nous ne faisons pas de cap... Quand nous nous apercevons de l'erreur, nous sommes derniers. Nous remontrons à la cinquième place.

Pour ces courses du matin, nous ne sommes pas à la fête en, cause de plein de petites erreurs ! Mais qui n'en fait pas par un temp comme celui là. Après les deux courses du matin, bien fort qui pourrait faire un pronostic ! 5 bateaux étaient au coude à coude.

 

Pendant la pose repas de midi, le président du club nous donne les résultats du trophée Ancre Erdre 2022 qui s'est couru sur 7 courses en 2022.
Deux NEPTUNE sont sur les plus hautes marches du podium. IZNOGOUD à la première place et WGADA en seconde position. Le podium est complété par le Microsail BIGOUDEB BLUES. 

 

Classement

 

1 -  IZNOGOUD     Neptune

2 -  GWADA      Neptune

3 -  BIGOUDEN BLUES     Microsail

4 -  RUZ ILOUTOU     Edel 2

5 -  RASTAKOUER     Microsail

28 classés

 

La course de l'après midi, après un départ houleux et prématuré, nous partons sous pavillon noir. Le vent monte. Très vite, deux micro, TORTUE (Flyer) et IZNOGOUD, notre Neptune, se portent aux avant poste. En milieu de course, nous rattrapons les deux J22 qui nous doivent du temps, et finissons sur leurs talons.

Nous terminons cette régate à égalité de points avec BIGOUDEN BLUES. Nous sommes départagés en fonctions des meilleurs courses.

 

Un grand merci aux bénévoles de l'ANCRE qui nous organisent toujours de très belles régates.

 

 

Reprises des régates du SNOS

 

 

Pour ma première régate en finn de l'année, je navigue au Bois Joalland à Saint Nazaire.

Un vent idéale de 5 à 10 nœuds tournant à souhait va me permettre d'appliquer la tactique que je vais développer mardi soir prochain en cours au club.

Le comité nous donne 6 départs de courses.

 

Merci à Ingrid de mettre en place ce challenge sur les samedi de navigation.  

 

Une première régate de saison qui démarre sur les chapeaux de roue.

 

Que de vent ! Que de vent pour cette première régate à Nantes au SNO ! Une température hivernale, un beau soleil et un vent très fort sont de la partie. Le comité ne va donner que deux départs au regard de ces conditions très ventées. En effet, le vent moyen de 20 nœuds forcit jusqu’à 30 dans les rafales, sur des parcours hyper réduits, en travers du plan d’eau, et des changements de direction brusques, voire brutaux !

 

Dès le départ, sur les 14 bateaux inscrits, seuls 11 courageux se présentent sur la ligne de départ. Il n’en restera plus que 7 pour le deuxième départ…Il faut être fou pour naviguer dans ces conditions ! Le comité nous a même demandé de ne pas utiliser le spi.
Deux NEPTUNE sont présents, COLIBRI et IZNOGOUD. COLIBRI ne pourra pas prendre le départ de la deuxième course. IZNOGOUD remporte cette régate avec ses places de 3 et 1^er . C’est un drôle de baptême du feu pour le nouvel équipage de Patrick :  Eric et Noë s’en souviendront. Malgré ces conditions difficiles, c’était génial !