Un championnat qu'il ne fallait pas manquer !

Une régate sportive où la convivialité est de mise.

Nous arrivons vers 10 h 00 au club, escorté par Philippe (ALISA) depuis le péage de l’autoroute. Laurence, la présidente du club nous attend pour que nous puissions nous mettre les pieds sous la table. Une équipe de jeunes très sympathiques est aux cuisines pour nous mijoter de bons petits plats comme d’excellents gâteaux. Bref, l’accueil est très agréable.

Après ce repas, nous plantons le campement en bordure de Seine. Quand je dis en bordure, la tente d’Éric est à moins de 2 m du fleuve !

Après ce repas, nous plantons le campement en bordure de Seine. Quand je dis en bordure, la tente d’Éric est à moins de 2 m du fleuve !

Les hostilités commencent le samedi matin. En parlant d’hostilité, elles débutent par un « gros » petit déjeuner. Ensuite les bateaux sont mis à l’eau dans un joli petit port entre l’ile où nous sommes et la Seine. Le vent ce matin est déjà très fort. D’où nous sommes, nous voyons des moutons sur le fleuve.

La première journée est particulièrement sportive. A noter la ligne de départ qui est matérialisée par une bouée et la cabine comité à terre. Cela me rappelle de bien bons souvenirs lorsque j’ai commencé la voile dans les années 60.

IZNOGOUD adore le vent fort et va le prouver en remportant les 3 courses de la journée dans un vent de 15-18 nœuds établi avec des rafales dépassant les 25 nœuds. Derrière, ALISA termine deux fois second, IL FURIOSO barré pour l’occasion par Martial, fait second à la deuxième course. Mais le vent fait des dégâts ! Suite à un gros refus de tribord, IL FURIOSO bien endommagé doit se retirer du championnat. GRANGIBUS, après avoir laissé trop longtemps le foc à contre, dessale.

Nous nous retrouvons tous autour d’un bel apéritif avant un repas des équipages dans une ambiance chaleureuse.

Le dimanche, le vent est plus faible. ALISA en profite pour s’imposer dans la première course. IZNOGOUD réagit et remporte les 3 autres courses. Derrière, c’est FOLY, bateau que je rencontre pour la première fois, qui glane les 4 places de troisième.

La journée se termine par la remise des prix et un apéritif en bord de Seine.

Nous n’étions que 6 pour ce national. Pour ma part, j’attendais un peu plus de bateaux mais je sais qu’un des NEPTUNE na pas pu être préparé à temps. Néanmoins les bateaux présents représentaient un bon niveau. Ce que je souhaite, c’est que nous soyons plus nombreux l’année prochaine. Ne ratez pas cette formidable régate! Je vous assure que le déplacement en vaut le coup.

Un grand merci à Laurence, l’organisatrice, à Alexandre , notre jury « biker »,  et à tous les bénévoles du club.

Le dimanche, le vent est plus faible. ALISA en profite pour s’imposer dans la première course. IZNOGOUD réagit et remporte les 3 autres courses. Derrière, c’est FOLY, bateau que je rencontre pour la première fois, qui glane les 4 places de troisième.

La journée se termine par la remise des prix et un apéritif en bord de Seine.

Nous n’étions que 6 pour ce national. Pour ma part, j’attendais un peu plus de bateaux mais je sais qu’un des NEPTUNE na pas pu être préparé à temps. Néanmoins les bateaux présents représentaient un bon niveau. Ce que je souhaite, c’est que nous soyons plus nombreux l’année prochaine. Ne ratez pas cette formidable régate! Je vous assure que le déplacement en vaut le coup.

Un grand merci à Laurence, l’organisatrice, à Alexandre , notre jury « biker »,  et à tous les bénévoles du club.

La balade d’IZNOGOUD au pays de Wolfgang Amadeus Mozart.

Après son périple au championnat national NEPTUNE à Paris, IZNOGOUD donne rendez-vous à ses équipiers à Gmunden en Autriche pour le championnat du monde des Micros.

Tout est réuni pour un merveilleux championnat: Paysages paradisiaques, une météo plutôt agréable, beau temps prévu avec vent faible, ce qui n’avantage pas forcément IZNOGOUD. Sur la route, nous traversons de belles forêts avec des fermes très soignées.

IZNOGOUD a rendez-vous avec Thierry, Eric et Patrick en bordure du lac de Traunsee. La beauté du site est à couper le souffle.

Nous avions cru comprendre que nous pourrions utiliser les sanitaires du club avec nos vans. Mais nous apprenons que nous sommes garés à presque 1 km du club. Bonjour pour les sanitaires la nuit ! De plus, pas de possibilité d’avoir du courant…

Le premier jour, jour de jauge, tout se passe très bien:  test de redressement (Le NEPTUNE se redresse correctement), contrôle du poids et marquage des voiles. Pas de contrôle des espars. Pour ce qui est de la jauge des voiles, j’ai l’impression que tout aurait pu passer !

Une impression se fait vite jour. Les Autrichiens ne semblent pas très avenants. Peut-être ceci est dû au fait que nous nous trouvons sur la riviera autrichienne.

Le soir, nous participons à la cérémonie d’ouverture du championnat en grande pompe sur la place de la mairie. Petite délégation de militaires pour une salve de fusils et tirs au canon.

Le second jour, nous partons sur l’eau à l’horaire prévue. Attente, annulation puis départ de la seule course de la journée. Le vent faible ne nous est pas favorable. Par contre HURLEVENT termine troisième de cette première course.

La délégation française est bien présente, toujours avec la même ambiance chaleureuse, bière à la main. Nous refaisons la course sur le perron du club. Mais pas question de déroger du droit chemin ! Très vite les remontrances arrivent. Par exemple, il ne se passe pas 2 minutes sans que la présidente du comité de course ne me tance lorsque je décharge ou charge rapidement du matériel sur le parking du club, dans le van, en me demandant de partir immédiatement sans me laisser le temps de le faire. Mais comment pourrais-je faire pour enlever quotidiennement les matelas et duvets de mon équipier qui dort dans le bateau alors que le véhicule est garé à 1 km ?

Ou bien pour l’anniversaire de Martial, lorsque nous avons sorti quelques bouteilles pour fêter ce moment fédérateur, le club nous a non seulement fait payer les verres vides, mais la présidente nous en a fait le reproche. Sommes-nous les bienvenus ?

Le deuxième jour de course se présente mieux que le premier. Après attente à terre, nous allons pouvoir courir 4 courses dans un vent un peu plus soutenu. IZNOGOUD ne fait pas des merveilles. Par contre, au soir de cette journée, HURLEVENT est second au classement général.

Pour le repas des équipages, nous avons droit à une truite grillée fort délicieuse au demeurant, mais sans accompagnement, sans sauce, sans légumes, pas d’entrée ni de dessert. Un peu étonnant lorsque les assiettes servies aux autres clients sont plus complètes. Nous décidons donc de commander des pizzas pour compléter le repas. Geste très mal vu du club ! Ce qui nous a valu à nouveau des remarques.

Pour les courses, malheureusement, le vent ne se lève pas les deux jours suivants. Nous passons de longs moments sur la terrasse du club, bière à la main.

Le championnat se termine ainsi, avec un beau couac d’organisation en supplément : Sans prévenir les coureurs, la remise des prix est avancée d’une heure par le club. Les équipages qui sont sur le parking, à 1 km de là, vont la rater…

Pour ce qui est du résultat, IZNOGOUD termine 17ème au scratch et 4ème en racer derrière 3 polonais. La bonne ambiance entre les français a été le moment fort de cette compétition, ce qui renforce les liens entre nous.

Le deuxième jour de course se présente mieux que le premier. Après attente à terre, nous allons pouvoir courir 4 courses dans un vent un peu plus soutenu. IZNOGOUD ne fait pas des merveilles. Par contre, au soir de cette journée, HURLEVENT est second au classement général.

Pour le repas des équipages, nous avons droit à une truite grillée fort délicieuse au demeurant, mais sans accompagnement, sans sauce, sans légumes, pas d’entrée ni de dessert. Un peu étonnant lorsque les assiettes servies aux autres clients sont plus complètes. Nous décidons donc de commander des pizzas pour compléter le repas. Geste très mal vu du club ! Ce qui nous a valu à nouveau des remarques.

Pour les courses, malheureusement, le vent ne se lève pas les deux jours suivants. Nous passons de longs moments sur la terrasse du club, bière à la main.

Le championnat se termine ainsi, avec un beau couac d’organisation en supplément : Sans prévenir les coureurs, la remise des prix est avancée d’une heure par le club. Les équipages qui sont sur le parking, à 1 km de là, vont la rater…

Pour ce qui est du résultat, IZNOGOUD termine 17ème au scratch et 4ème en racer derrière 3 polonais. La bonne ambiance entre les français a été le moment fort de cette compétition, ce qui renforce les liens entre nous.